Les 14 planètes les plus mystérieuses de Mass Effect MarsEthan et Mirlina 02/11/2014

Les 14 planètes les plus mystérieuses de Mass Effect

Mass Effect Universe vous propose une nouvelle série de dossiers consacrés aux planètes de Mass Effect, et plus précisément à leurs descriptions. Peu de joueurs ont le courage de lire les descriptions de chaque planète, et c’est chose compréhensible, étant donné que la plupart sont de simples descriptions scientifiques dénuées d’intérêts. Pourtant, certaines sortent du lot ! Et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé de faire un petit tour de la Voie Lactée afin de vous proposer une sélection des descriptions les plus mystérieuses des planètes du premier Mass Effect.

Laissez vous transporter l’espace d’un instant  au sein de notre saga préféré et de ses secrets, au rythme de la musique « Uncharted Worlds » (grâce au lecteur de musique présent ci-dessus). Bonne lecture !

 

Les phénomènes inexpliqués

 

Loki, la planète gruyère

planèteLoki

Localisation : Système Asgard, Secteur Exodus
Distance orbitale : 6,8 UA
Période de révolution : 17,8 années terrestres
Diamètre : 7 260 km
Période de rotation : 61,3 heures terrestres
Pression atmosphérique : 0,2 atm
Température en surface : – 135 °C
Pesanteur en surface : 0,22 g

Loki est une petite planète tellurique sans grand intérêt. Un de ses hémisphères est en grande partie recouvert d’une calotte glaciaire, tandis que l’autre compte un relief escarpé de plateaux basaltique. Ce terrain suggère que la planète fut victime d’un colossal cataclysme il y a très longtemps, affectant même l’orbite de la planète qui atteint 6.5 UA au périgée et 7.1 UA à son apogée.

Les scans en profondeur révèlent la présence d’un réseau sinueux de tunnels souterrain sous la calotte polaire. Du fait que la plupart des tunnels montrent une étrange régularité en terme de forme et de taille, les premières expéditions pensèrent qu’ils étaient d’origine artificiel. Cependant, elles ont conclue plus tard qu’ils étaient d’origine naturelle.

La fine atmosphère de Loki est principalement composée de krypton et de xénon. Quand la planète se rapproche de son périgée, le dioxyde et trioxyde de souffre congelé à la surface s’évapore et forme des nuages sulfureux sur l’hémisphère face à Asgard. NON VERIFIE

 

Ploba, la planète « ordinateur »

planètePloba

Localisation : Système Antaeus, Hadès Gamma
Distance orbitale : 6.93 UA                                      
Période de révolution : 20,4 années terrestres   
Diamètre : 148 442 km                                               
Période de rotation : 17,3 heures terrestres         

 

 

Ploba est la deuxième et la plus massive des deux géantes gazeuses du système Antaeus. Les scans réalisés par les vaisseaux d’exploration ont révélé la présence de structures imposantes flottant profondément dans l’atmosphère, trop régulières pour être naturelles.

Certains croient que Ploba est en fait un superordinateur de la taille d’une planète. Les adeptes de cette théorie s’évertuent même à envoyer des signaux vers les mégastructures enfouies dans l’espoir de capter l’attention de la machine.

D’autres pensent qu’une ancienne race de spationautes s’est servie de cette planète pour se débarrasser de ses armes de guerre. La dernière tentative de récupération des « anomalies profondes » de Ploba a très mal tourné : une équipe de douze personnes s’est retrouvée piégée et écrasée dans les strates inférieures de l’atmosphère de la géante gazeuse.

 

Zayarter et ses formes lumineuses

planèteZayarter

Localisation : Système Cacus, Hadès Gamma
Distance orbitale : 2 UA
Période de révolution : 2,1 années terrestres
Diamètre : 11 070 km
Période de rotation : 53,8 heures terrestres
Pression atmosphérique : 0,5 atm
Température en surface : 166 °C
Pesanteur en surface : 0,7 g

Zayarter est une planète tellurique énigmatique nimbée d’une atmosphère brumeuse composée d’azote et d’argon. Son environnement d’une chaleur insupportable est principalement constitué de calcium et de dépôts de sodium.

À trois reprises au cours du siècle dernier, des vaisseaux effectuant leur décharge statique autour de Treyarmus ont signalé des formes lumineuses géométriques sur le côté obscur de Zayarter. Les recherches menées n’ont rien donné : les lumières disparaissent inexplicablement à l’approche du moindre vaisseau.

 

Juntauma et ses vaisseaux fantômes

planèteJuntauma Localisation : Système Farinata, Hadès Gamma
Distance orbitale : 69,9 UA
Période de révolution : 102 années terrestres
Diamètre : 8 454 km
Période de rotation : 102 années terrestres
Pression atmosphérique : 0,36 atm
Température en surface : 1 176 °C
Pesanteur en surface : 0,38 g

L’atmosphère déjà ténue de cette planète, à base de dioxyde de carbone et d’éthane, est peu à peu balayée par les puissants vents solaires de l’étoile Farinata. Sa surface, d’une chaleur infernale, est principalement constituée de soufre et de dépôts de cuivre. En raison de sa faible densité, Juntauma gravite en orbite synchrone autour de Farinata.

Le réseau de données de défense de l’Alliance a relevé la présence de plusieurs vaisseaux transitant près de Juntauma avec leurs transpondeurs éteints. L’un des vaisseaux repérés a échappé à la patrouille de l’Alliance en passant en vitesse supraluminique. Sa trace a été perdue dans la foule de signaux émanant de la route commerciale Anansi-Ishtar.

 

Chasca, « l’oeuvre d’art extraterrestre »

planèteChasca

Localisation : Système Matano, Mer Pourpre
Période de révolution : 1.3 années terrestres
Diamètre : 16 118 km
Période de rotation : 1.3 années terrestres
Pression atmosphérique : 0.86 atm
Température en surface : 67 °C
Satellite : une système d’anneaux artificiel

Chasca est une vaste planète de faible densité, très similaire à sa voisine Inti. De ce fait, elle gravite elle aussi en orbite synchrone autour de Matano. Étant donné que la même face est toujours exposée au soleil, on distingue d’un côté un jour caniculaire et de l’autre une nuit glaciale. On trouve des zones tempérées le long du terminateur où la température avoisine les 30°C. Son atmosphère d’azote et d’oxygène rend cette bande de terre relativement habitable pour les Humains.

L’anneau de Chasca est unique en son genre : il ressemble à une énorme « installation artistique » extraterrestre, faite d’un assemblage de petites pièces synthétiques pratiquement invisibles depuis l’espace. Depuis Chasca, cette matière renvoie la lumière de Matano et crée des formes remarquables. Nul ne sait quand a été créé cet anneau ni par qui.

Chasca en est à un stade de développement peu avancé mais la colonisation est en marche : les quelques équipes de pionniers sur place collectent actuellement des informations sur son écologie et ses conditions naturelles. Un vaste programme de recrutement de colons a en outre été lancé sur Terre.

 

Logan, la planète aux perturbations peureuses

planèteLogan

Localistation : Système Thésée, Attique Bêta
Distance orbitale : 23.27 UA
Période de révolution : 112,6 années terrestres
Diamètre : 132 682 km
Période de rotation : 18,6 heures terrestres

 

Logan est une géante gazeuse standard, composée d’hélium et d’hydrogène. L’équipe qui l’a découverte il y a 20 ans a repéré d’étranges perturbations dans les bandes nuageuses de Logan, qui suggéraient la présence de corps solides de très grande taille en dessous. Tandis que le vaisseau s’approchait, ces étranges perturbations disparurent une par une, pour ne jamais réapparaître.

 

Pressha, dernier lieu connu d’un soldat Turien

planètePressha

Localisation : Système Gagarine, Nébuleuse Armstrong
Période de révolution : 0.7 années terrestres
Diamètre : 76 964 km
Période de rotation : 16.2 heures terrestres
Satellite : > 1

 

Pressha est une géante gazeuse hydrogène-hélium de taille modeste dont la stratosphère regorge d’hydrocarbures gazeux.

Quand prit fin la Rébellion krogane il y a trois mille ans, le chef des opérations navales turiennes, un soldat émérite nommé Mehrkur, signifia son retrait immédiat de la vie militaire. Il disparut parmi ce qui faisait alors partie des astra incognita. Pas moins de deux cents ans plus tard, son vaisseau fut repéré à la surface de la plus grande lune de Pressha, sabordé après un atterrissage sans encombre. L’amiral Mehrkur lui-même n’a jamais été retrouvé.

 

Zahérux, et son « nuage de nanomachines »

planèteZaherux

Localisation : Système Grissom, Nébuleuse Armstrong
Période de révolution : 266.8 années terrestres
Diamètre : 13 458 km
Période de rotation : 51.5 heures terrestres
Pression atmosphérique : 0.32
Température en surface : 959 °C
Pesanteur en surface : 0,61 g

 

L’atmosphère azote-argon de Zahérux est en train de se faire balayer par le vent solaire de géante bleue Grissom. La surface de la planète se compose de « mers » de poussières de silice de quelques kilomètres de profondeurs qui provoquent une tempête de sable planétaire permanente.

Beaucoup de sondes automatisées ont été perdues sur Zahérux au fil des années. Bien que les enquêtes attribuent toutes une défaillance mécanique ou une erreur de calcul, une rumeur tenace sur Extranet insiste sur le fait que la planète est composée de nanotechnologies en sommeil, créées il y a des millénaires par une race encore plus avancée que les Prothéens.

Selon cette rumeur, la poussière de silice recouvrant Zahérux est fait un nuée de nanomachines qui se réveille périodiquement pour se défendre. Bien que démentit par tous les scientifiques de renom, cette théorie à été popularisée par une série de textes sensationnalistes écrit par la romancière Asari Désaé Orthysa.

 

Solcrum, la planète aux transmissions étranges

planèteSolcrum

Localisation : Système Grissom, Nébuleuse Armstrong
Distance orbitale : 10 367 883 km (depuis Notanban)
Période de révolution : 0.6 années terrestres
Diamètre : 9 068 km
Période de rotation : 0.6 années terrestres
Pression atmosphérique : Extrêmement faible
Température en surface : 351 °C
Pesanteur en surface : 0,8 g

Solcrum est la plus grosse lune de la géante gazeuse Notanban. Son atmosphère ténue est constituée de krypton et de xénon. Son environnement comporte de nombreux métaux ainsi que des dépôts de sodium. Comme pour tous les corps de ce système solaire, la chaleur qui y règne atteint des sommets. De plus, la planète subit les radiations de la géante bleue Grissom. Y tenter une excursion sans équipement de protection serait du suicide.

En approche de Notanban, les capteurs passifs du Normandy ont intercepté un segment de transmission codée provenant de la surface de Solcrum. Il s’est révélé impossible de déchiffrer le message en question, dont le code ne semble provenir d’aucune race connue de la Citadelle.

 

Chofen, la planète aux « possibles formes de vies »

planèteChofen

Localisation : Système Erebus, Styx Thêta
Période de révolution : 56.9 années terrestres
Diamètre : 42 962 km
Période de rotation : 9.2 heures terrestres

 

 

 

Chofen est particulièrement petite pour une géante gazeuse. Composée d’hydrogène et d’hélium, son atmosphère comporte des traces de soufre et d’hydrocarbures gazeux. Dans un rapport non corroboré, l’Ibn Battuta, vaisseau d’exploration de l’Alliance, a fait état d’une forme de vie à base d’hydrocarbone dans les basses couches de la planète, à 1000 km sous les nuages. À cette altitude, la pression opérerait une condensation de l’hydrogène dans l’atmosphère.

Prouver que la vie existe bel et bien sur cette planète viendrait étayer plus d’une théorie. Malheureusement, seule une sonde équipée de générateurs gravitationnels surpuissants pourrait résister à la pression assez longtemps pour renvoyer les données collectées. Il apparaît que le jeu n’en vaut pas la chandelle.

 

Vestiges de civilisations anciennes

 

Orméni, la planète sacro-sainte

planèteArméni

Localisation : Système Knossos, Artémis Tau
Période de révolution : 151.3 années terrestres
Diamètre : 12 154 km
Période de rotation : 57.8 heures terrestres
Pression atmosphérique : 0.18 atm
Température en surface : – 168 °C
Pesanteur en surface : 0.8 g

Orméni est une planète tellurique pourvue d’une atmosphère raréfiée à base de krypton et de xénon. Sa surface est composée de silice et de dépôts de matières carbonées. La première sonde ayant survolé la planète a détecté plusieurs zones équatoriales comportant des protubérances étrangement régulières.

Une étude plus poussée a révélé qu’il s’agissait en fait de millions de cryptes ensevelies à quelques mètres sous la surface, dernier témoignage d’une race spationautique éteinte de longue date : les Zéïophes. Les universitaires humains ont émis le souhait d’effectuer des fouilles archéologiques ; cependant, les lois du Conseil considèrent les sites funéraires comme sacrés et l’affaire s’est retrouvée bloquée devant les tribunaux galactiques depuis plus d’une décennie.

 

Jartar et son Léviathan de Dis

planèteJartar

Localistation : Système Dis, Hadès Gamma
Période de révolution : 2,8 années terrestres
Rayon : 2 820 km
Période de rotation : 2,8 années terrestres
Pression atmosphérique : 0 atm
Température en surface : 82 °C
Pesanteur en surface : 0,17

Jartar est une planète tellurique dotée d’une atmosphère très ténue constituée de krypton et de xénon. Sa surface brûlante et aride es recouverte de silicates très ordinaires. On y trouve également des gisements d’aluminium, de magnésium et autres métaux légers.

Le seul intérêt de Jartar repose sur la découverte du « Léviathan de Dis », le cadavre supposé d’un vaisseau vivant conçu génétiquement. Le Léviathan a été découvert dans le fond d’un cratère par une équipe de scientifiques butariens, qui a estimé son âge à près d’un milliard d’années. Le corps a mystérieusement « disparu » après le passage d’un cuirassé butarien sur la planète, il y a environ vingt ans.

Depuis lors, les Butariens ont toujours nié en bloc l’existence d’une telle créature, redoublant de véhémence devant les rapports scientifiques galariens qui avaient observé les restes.

 

Klencory, la planète des Êtres de Lumière

planèteKlencory

Localisation : Système Newton, Bordure de Kepler
Distance orbitale : 7,5 UA
Période de révolution : 20,6 années terrestres
Diamètre : 15 354 km
Pression atmosphérique : 11 atm
Température en surface : – 109 °C
Pesanteur en surface : 0,82 g

Klencory est une planète de roche et de glace dotée d’une atmosphère composée de chlore et d’argon. La surface gelée est principalement composée de potassium et de dépôts de fer.

Klencory est revendiquée par le célèbre et excentrique milliardaire volus Kumun Shol. Il affirme avoir eu la vision d’un être supérieur lui disant d’aller trouver sur Klencory les « Cryptes Perdues des Etres de Lumières ». Ces entités, créées à l’aube des temps, protégerait la vie organique de « Machines Diaboliques ».

Shol a dépensé sans compter dans l’excavation de la planète pour trouver ces fameuses « Cryptes Perdues » et dans la construction de sa forteresse depuis deux décennies. Aucun gouvernement n’a encore évalué la force militaire capable de déloger sa petite armée de mercenaires.

 

Junthor et les monstres de l’Id

planèteJunthor

Période de révolution : 0,2 année terrestre
Rayon : 10 480 km
Période de rotation : 56,7 heures terrestres
Pression atmosphérique : 0,96 atm
Température en surface : -49°C
Pesanteur en surface : 0,98 g

 

Junthor est une planète tellurique dotée d’une atmosphère dense à base de dioxyde de carbone et de chlore. Son environnement se compose principalement d’aluminium et de dépôts de nickel.

Les prospecteurs ont découvert à proximité de l’équateur les ruines d’une civilisation ayant atteint un haut degré d’évolution technique, vraisemblablement au-delà du palier spationautique. Lesdites ruines, arcologies et autres mégastructures avaient subi les ravages du temps et des vents ; néanmoins, au centre se trouvait une colonne isolée dont les inscriptions ont défié toute tentative de traduction des siècles durant.

Lorsqu’enfin des linguistes asari y sont parvenues, voici le fruit de leur traduction : « arpentez ces reliques, témoins de notre gloire ». Au bas de la face arrière, gravé à la hâte : « monstres de l’Id ».

 

Rendez-vous la semaine prochaine pour un deuxième et dernier article dédié cette fois-ci aux planètes mystérieuses de Mass Effect 2.