Globalement, je regrette que ME2 ne soit constitué quasiment que de missions de recrutement et de loyauté, mais y'a quand même quelques moments qui sortent du lot et qui m'ont foutrement bien amusé.
Je pense d'abord à la quête de Kasumi, qui est différente de tout et très amusante. Se la jouer infiltration, incognito, surtout quand c'est pas du tout le genre de ton Shepard, c'est juste formidable. En plus Kasumi est un personnage que j'ADORE. La petite cinématique à la fin aussi, où on doit convaincre Kas' de détruire ou de conserver la boite, c'était aussi très touchant.
La mission loyauté de Samara était assez fun dans le genre aussi. J'ai plusieurs fois eu peur de foirer la mission à cause de mauvais dialogues mais au final je m'en suis pas trop mal sorti. Puis le petit affrontement mère/fille était très sympa à regarder, avec les objets qui volent et tout.
La mission loyauté de Tali oh la la j'ai a-do-ré. Le tribunal, notre Shepard qui se porte garant de Tali (mon bébé), qui convainc les juges qu'elle est innocente, c'était vraiment bien. Et ça renforce considérablement le lien entre les deux personnages, et ça me touche doublement car on déjà la petite quarienne dans le premier opus, ça montre une véritable amitié et oooh <3
Le DLC Courtier de l'Ombre. Dans l'appartement de Liara, et qu'il y a la photo du Normandy
Et l'affrontement avec la Spectre, tout le périple sur le toit du vaisseau (c'était énorme ça), quand on découvre le Courtier, qu'on le tue, et que Liara le devient, c'était intense et puissant. J'aime d'autant plus car on observe une réelle évolution dans un personnage. Quand on rencontre Liara dans ME1, on se doute pas une seule seconde qu'elle puisse un jour devenir le
freaking Courtier de l'Ombre. Puis bien sur, les discussions avec Liara, dans le Normandy, quand on a la romance, c'est trop mignon <3
Quand on dirige Joker le temps que les Récolteurs prennent le vaisseau. C'était court, mais sympathique (bon, dommage que Joker se déplace aussi vite qu'une limace mais bon, on peut pas vraiment lui en vouloir, le pauvre.)
Et bien évidemment : la mission suicide. Ou le GROS STRESS.