Autant j'ai haï Unity avec un Arno Dorian, ersatz tristounet de l'emblématique Ezio Auditore, avec sa love story "bas de plafond" et insipide, dont tout le monde se contre-fout: "Ouin, ouin, je suis fils d'Assassin mais ma Dulcinée est fille de Templier! La vie est trop injuste" et son scénario relatif aux fragments d'Eden d'une platitude sans nom, autant j'ai retrouvé l'ambiance qui me plaisait tant depuis Origins (et pourtant je déteste les RPG!).
Quand j'avais vu le type de gameplay Ubi comptait mettre en place pour le jeu, j'appréhendais sévère et au final, depuis ce "nouveau départ dans la franchise" (et l'arrêt des sorties frénétiques de 1 jeu par an), j'ai retrouvé ma passion pour cette saga (même si, comme tout, elle n'est pas exempte de défauts!)